mercredi 8 décembre 2010

22h52, le 8 décembre 1980 à NYC...Il y a 30 ans !!!


Le 8 décembre 1980, à 22 h 52, après une soirée de travail en studio et alors qu’il rejoint son appartement du Dakota Building, à côté de Central Park, Lennon reçoit cinq balles de revolver tirées par Mark David Chapman, sous les yeux de son épouse. Emmené à l’hôpital Roosevelt en urgence, il est déclaré mort à 23 h 07, quinze minutes après les coups de feu. Le lendemain, Yoko annonce : « Il n’y aura pas de cérémonie pour John. John aimait et priait pour l’humanité. S’il vous plaît, faites de même pour lui. Merci. Yoko et Sean». Son corps est incinéré et ses cendres remises à Yoko.

L’assassin, Mark Chapman, plaide coupable et écope d’une peine de prison à perpétuité, avec quinze ans incompressibles. Sa libération conditionnelle est refusée à six reprises. Le comité chargé de juger sa dernière demande de sortie déclare : « Cet acte prémédité, insensé, égoïste et aux conséquences tragiques, mène à la conclusion que [sa] libération demeure incompatible avec la sécurité de la communauté ». Les raisons de ce meurtre demeurent floues. Certains y voient le sentiment de trahison qu’aurait éprouvé Chapman, accusant son idole de ne pas avoir tenu les promesses de paix et d’égalité des richesses qu’il communiquait dans ses chansons. D’autres y voient une « réponse » à sa phrase affirmant que la popularité des Beatles dépassait celle de Jésus. Lennon avait évoqué sa mort violente en chanson, de façon troublante, avec le « shoot me » répété avant chaque couplet de Come Together, ainsi que dans une interview. Le jour même de son assassinat, il avait déclaré : « Je considère que mon travail ne sera pas terminé tant que je ne serai pas mort et enterré, et j’espère que ce sera dans très, très longtemps » Source : WIKIPEDIA

dimanche 21 novembre 2010

La fin d'un mythe...




Chaque année je me rends à Paris Photo avec diverses motivations … La découverte de nouveaux talents, le plaisir de voir des images inaccessibles (frisant parfois le prix d’un appartement parisien, ce qui se passe de commentaire) mais aussi la possibilité de rencontrer quelques personnalités de la photographie ou de faire dédicacer pour mon unique plaisir quelques ouvrages de mon humble photothèque…
Cette année, mon programme était bouclé bien longtemps à l’avance et j’ai quitté tôt mon « home sweet home » seine et marnais, samedi matin, afin de ne pas rater celui qui pour moi a réalisé la photo ultime, celle qui suffirait à satisfaire une vie de photographe, celle d’un nain grimé en clown fumant une clope d’une main et portant dans l’autre un bouquet de fleurs dans un décors de désolation absolue (« the dwarf »).
J’étais sur le stand STEIDL (son éditeur) dès 13h45, la rencontre devant avoir lieu à 14h. Mais la dédicace fût finalement annoncée pour 16h …Mon impatience me fit passer plusieurs fois devant le stand afin de ne pas rater le passage sans aucun doute éphémère du formidable photographe américain…Bruce DAVIDSON.
Mon impatience fut payante puisqu’à 15h25, à l’avant du stand, 4 magnifiques marqueurs entre les mains, le maître était là!
Vous pensez, un mec qui a photographié les "Civil Rights Movement" dans les années 60 puis la "East 100th Street" dans les années suivantes… Comment ne pas être en admiration devant des œuvres aussi engagées et aussi artistiquement réussies ?
Cruelle désillusion …L’homme refusa à une poignée d’admirateurs médusés dont je faisait parti, de signer tout autre ouvrage que sa dernière trilogie « Outside Inside » que seul quelques nantis purent s‘offrir (l’ouvrage coûte plus de 200 Euros et pèse 6 kg !). Pire, ceux qui avaient achetés le premier tome de la trilogie se virent également refuser tout autographe …
Les complaintes furent sans résultat jusqu’à ce que l’homme se plaigne à une responsable de chez STEIDL qui vint nous demander poliment mais fermement de cesser de réclamer quoique ce soit au photographe idolâtré …
Je finis par obtenir néanmoins l’autorisation de photographier l’artiste et même de poser avec lui …Mais toujours pas de signature.

Heureusement 20 minutes plus tard, le talentueux et sympathique Alec SOTH signait à tout va sur ce même stand, à quelques enjambées de l’américain retranché sous sa casquette yankee…Une belle consolation !

http://en.wikipedia.org/wiki/Bruce_Davidson_%28photographer%29

samedi 23 octobre 2010

MOTEL BLUES ...


Jack KEROUAC y est sans doute pour beaucoup d'avoir fait du mythe de l'Amérique celui de la route ...
Si cet ouvrage est le plus fameux dans le genre et a influencé plusieurs générations, moi c'est celui de Bill BRYSON "MOTEL BLUES"* qui m'a donné envie de traverser une partie de ce continent à la recherche de ces motels dans lesquels le souffle des années 50 subsiste encore ...
Les fastes ont laissés place à la désuétude, la "route" a laissé place aux Highways, les "belles américaines" se sont effacées devant les japonaises, mais l'ambiance y est restée intacte dès lors que l'on a l'esprit rêveur...




William « Bill » McGuire Bryson, né le 8 décembre 1951, est un auteur de récits de voyages humoristiques, ainsi que de livres traitant de la langue anglaise et de sujets scientifiques. Né aux États-Unis, il a vécu la majorité de sa vie au Royaume-Uni.

*The Lost Continent: Travels in Small-Town America - traduit en français sous le titre Motel Blues (1989) (voyage dans l'Amérique profonde)
(Source Wikipédia)

jeudi 7 octobre 2010

L'appareil photo du futur !!!


Vous en avez rêvé !!!

Un appareil qui ne se démode pas, qui n'a pas de problème de saturation de carte mémoire, d'accus qui se déchargent trop vite, de pixels qui disparaissent au bout de quelques mois...Qui ne dévore pas vos bobines 36 poses à la vitesse" de l'éclair, qui ne raye pas les films non plus ...
Un appareil qui, avec un peu de soin, pourrait être transmis de génération en génération ...100% écolo ...Économique, recyclable ...

Vous n'y croyez pas ...Vous n'y croyez plus ...Et pourtant je l'ai trouvé sur E-Bay !!! C'est un LIKA...Et en plus il est vraiment très beau (il me rappelle un "truc" made in Germany...) !!! Et si peu cher ...Et puis même sur un coin de cheminée il fait vraiment "classe"...

lundi 16 août 2010

"Quand t'es dans le désert ..."


De l'autre côté du DAYLIGHT PASS, qui vous permet de fuir l'infernale fournaise de la VALLÉE DE LA MORT - enfin si votre moteur ne rend pas son dernier souffle avant la fin de la montée du col - se trouve le village abandonné de RHYOLITE. Ville fantôme désertée par des milliers de chercheurs d'or qui pensèrent, sans doute à tort, y faire fortune.
Elle n'est plus habitée que par quelques serpents à sonnette dont le sommeil est quelques fois troublé par la présence d'un ...Photographe rêveur !...

Rhyolite
est une ville fantôme située au Nevada sur la HGW 374 entre la ville de Beatty et l'entrée Est de la Vallée de la Mort (Death Valley).

Elle a été fondée en 1904 dans le cadre de la ruée vers l'or, a connu son apogée en 1907-1908 (entre 8 000 et 10 000 habitants) puis a été subitement désertée pour des raisons économiques. Ses ruines ont servi de décor pour une scène du film The Island (Ewan Mc GREGOR, Scarlett JOHANSSON). Source : WIKIPEDIA

mercredi 4 août 2010

SONY NEX-5 + 16 mm : test grandeur nature !


La photo de paysage est toujours une épreuve redoutable pour tester la qualité d'un appareil photo : du rendu des demies-teintes jusqu'à l'impression globale, rien de doit-être négligé !
Alors quand on se retrouve devant un tel décor, il ne faut pas se rater !...

J'ai bien sûr fait la même avec mon MAMAYA 7 II chargé d'un film ILFORD 100 ISO, on comparera plus tard ...

En attendant vos commentaires sont les bienvenus !...

A bientôt, pour la suite ...

PS : avec la pauvreté du rendu en 72 dpi, il n'est pas évident de se faire une opinion !